Valais, Suisse
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Pourquoi l’art est-il important?

L’importance de l’art

Les cultures conditionnent nos comportements, elles établissent les relations entre les personnes, leur société et le monde.
Les arts représentent une forme d’expression du vivant, généralement influencée par chaque culture et entraînée par une impulsion créatrice.
L’art peut ouvrir les esprits sur de nouveaux points de vue.

L’art est considéré comme le 4ᵉ pilier du développement durable, aux côtés des dimensions économique, sociale et environnementale. Il joue un rôle essentiel dans la construction d’un développement véritablement humain. Mais encore ?

La culture dans son ensemble ; dont l’art fait partie ; crée du sens, transmet des valeurs, favorise le dialogue et aide les communautés à affirmer leur identité. Elle renvoie à l’ensemble des connaissances, des pratiques symboliques et des formes d’expression qui caractérisent l’humanité. Elle donne une place et une voix à chacun.

L’art, quant à lui, stimule l’innovation et la créativité, des ressources indispensables pour imaginer de nouveaux modèles de sociétés face aux crises écologiques et sociétales. Il permet de sensibiliser différemment aux enjeux du monde contemporain, en touchant les émotions, en ouvrant des perspectives et en rendant les problématiques plus accessibles.

Enfin, la culture soutient un développement économique : elle génère des emplois, valorise les territoires et encourage des formes de consommation et de production plus locales.

Ainsi, l’art n’est pas un simple ornement : il conditionne la capacité d’une société à évoluer, à créer du lien et à envisager un avenir meilleur.


Transition et changement des comportements

La BIOCAPACITÉ qui est la capacité de la TERRE à:

  1. Régénérer les ressources qu’on prélève
  2. Absorber les déchets et pollutions qu’on rejette
  3. Réparer les dégâts qu’on inflige

Il y a « nous » et il y a la « Planète Terre »:

Notre EMPREINTE ÉCOLOGIQUE – NOS IMPACTS

  1. Ressources qu’on utilise
  2. Pollution et déchets que l’on rejette
  3. Dégradations que l’on crée

Nous devons, mais ne pouvons pas décroitre

Mais alors que faire ?

« Un enfant de 5 ans trouverait la solution ! Il s’agit de réduire et partager » Aurélien Barrau

Probablement, devrions-nous proposer quelque chose de neuf. Reconstruire de nouvelles façons de penser et d’agir afin de rendre notre quotidien à la fois désirable, viable et conscient. Tout est question de choix !

Réapprendre à vivre ensemble et mettre en place, de manière collective, de nouvelles cultures pourrait nous permettre de revenir à l’essentiel. Nous pourrions nous rendre compte que vivre simplement ne procure pas moins de confort, bien au contraire ! D’autant plus qu’aujourd’hui, il s’agit de survie.

Il serait une résilience territoriale ; comme le nomme Athur Keller; à une échelle non pas uniquement individuelle ni colossale, mais bien façonnée par régions. Nous pourrions réapprendre la permaculture, le partage, la mobilité douce, l’activité physique et le « travail positif, raisonné et social ».